16Jun
La réussite de la jeunesse est menacée à tout le niveau, les jeunes ont les difficultés de satisfaire leurs besoins vitaux, de trouver une place vacante aux entreprises locales et faible rémunération pour ceux qui travail. Le chômage, en particulier chez les jeunes, est l’un des principaux défis sociaux et économiques auxquels doivent faire face les jeunes congolais. Ses répercussions sont visibles tant au niveau macroéconomique qu’au niveau individuel. Le temps passe sans emploi tout au long de leur vie, ces jeunes augmentent les risques de pauvreté et d’exclusion sociale. La majorité de ceux qui veulent entreprendre manque des capacités de transformer leurs idées en projet, et ont une faible capacité de gestion et manque des capacités à faire preuve de sérieux, de rigueur et de persévérance et travaille souvent informel. Au niveau de la Communauté, la jeunesse est déconsidérée, marginalisée et négligée et au niveau Sociétal on remarque que l’environnement des affaires est peu favorable, des formalités administratives lourdes, le contexte politique difficile, insuffisance des incubateurs, Manque de culture entrepreneuriale (habitude de trouver l’emploi à la place d’en créer).
Sans oublier le manque de financement, de capital humain, capital social, accès limité aux financements, manque d’accompagnement d’aide à la création d’entreprise ainsi qu’un manque de qualifications et de réseaux. En outre, le cout d’opportunité de la création d’entreprise constitue un autre effet dissuasif important pour les Jeunes qui se lancent dans l’entrepreneuriat. En d’autres termes, le fait de créer une entreprise pourrait entrainer une baisse de leur revenu ou perte des fonds malgré leurs efforts accrus pour entrer et rester sur le marché du travail. Comme conséquences certaines jeunes filles se livrent à la prostitution avec toutes les incidences qui s’en suivent, quant aux garçons, il se livrent aux actes de banditisme notamment le vol, l’alcoolisme, la délinquance etc.
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